Cage The Elephant // La Maroquinerie // 18 février 2014
Trois ans après Thank You, Happy Birthday et leur prestation remarquée au Festival Rock en Seine, Cage The Elephant sont de retour dans la capitale. Après déjà quatre albums et au lendemain d’une tournée aux côtés de Foals, le groupe du Kentucky n’a aujourd’hui plus rien à prouver.
Ce soir, la Maroquinerie affiche d’ailleurs complet, et après une première partie assurée par The Drowners, c’est à la bande de Matthew Schultz de venir défendre sur scène son dernier album, sorti fin 2013.
Le bonhomme débarque nonchalamment sur scène. Pas le temps de faire les présentations. Déchaîné, le voilà qui slamme dès le troisième morceau, avant d’y prendre définitivement goût.
Peut-être moins explosif que ses prédécesseurs, Melophobia ne s’en sort pas trop mal , en témoigne le très 70’s Telescope, que ne renieraient pas les Kinks, le tempétueux Take It Or Leave It, ou encore l’excellent Spiderhead, avec lequel le groupe commencera son set sur les chapeaux de roues, dans une Maoquinerie complètement retournée au bout de seulement dix secondes de set.
Le groupe fait la part belle aux nouveaux morceaux, mais n’oublie pas ses classiques, avec un irrévérencieux In One Ear ainsi qu’un Ain’t No Rest for the Wicked injecté en intraveineuse et entonné par un public fervent. Ce soir, côté sueur, il n’y aura pas de trêve, pas même sur le plutôt doux Come A Little Closer.
Tout d’un coup, c’est debout, porté par les mains du public, qu’il vocifère dans son micro. Les bains de foule, ça donne chaud. Et hop, voilà qu’on enlève le t-shirt, ce qui n’est pas pour déplaire aux filles du premier rang qui prennent un malin plaisir à toucher du bout des doigts le torse de la bête de scène.
Le moment du rappel arrive trop vite. Les impatients commencent déjà à entonner les paroles de Shake Me Down. Matthew Schultz regagne vite la scène, et contente ses fans avec ce morceau désormais phare pour le groupe. Le temps d’un dernier titre, le chanteur s’offre un plongeon dans la fosse, et jusqu’au fond de la Maroquinerie, avant de revenir en marchant jusqu’aux coulisses, au milieu d’une foule en extase.
Ce soir, la Maroquinerie affiche d’ailleurs complet, et après une première partie assurée par The Drowners, c’est à la bande de Matthew Schultz de venir défendre sur scène son dernier album, sorti fin 2013.
Le bonhomme débarque nonchalamment sur scène. Pas le temps de faire les présentations. Déchaîné, le voilà qui slamme dès le troisième morceau, avant d’y prendre définitivement goût.
Peut-être moins explosif que ses prédécesseurs, Melophobia ne s’en sort pas trop mal , en témoigne le très 70’s Telescope, que ne renieraient pas les Kinks, le tempétueux Take It Or Leave It, ou encore l’excellent Spiderhead, avec lequel le groupe commencera son set sur les chapeaux de roues, dans une Maoquinerie complètement retournée au bout de seulement dix secondes de set.
Le groupe fait la part belle aux nouveaux morceaux, mais n’oublie pas ses classiques, avec un irrévérencieux In One Ear ainsi qu’un Ain’t No Rest for the Wicked injecté en intraveineuse et entonné par un public fervent. Ce soir, côté sueur, il n’y aura pas de trêve, pas même sur le plutôt doux Come A Little Closer.
Tout d’un coup, c’est debout, porté par les mains du public, qu’il vocifère dans son micro. Les bains de foule, ça donne chaud. Et hop, voilà qu’on enlève le t-shirt, ce qui n’est pas pour déplaire aux filles du premier rang qui prennent un malin plaisir à toucher du bout des doigts le torse de la bête de scène.
Le moment du rappel arrive trop vite. Les impatients commencent déjà à entonner les paroles de Shake Me Down. Matthew Schultz regagne vite la scène, et contente ses fans avec ce morceau désormais phare pour le groupe. Le temps d’un dernier titre, le chanteur s’offre un plongeon dans la fosse, et jusqu’au fond de la Maroquinerie, avant de revenir en marchant jusqu’aux coulisses, au milieu d’une foule en extase.
The Drowners
Cage The Elephant
Setlist:
Spiderhead
In One Ear
Aberdeen
Back Against the Wall
Take It or Leave It
Halo
Cigarette Daydreams
Ain’t No Rest for the Wicked
Black Widow
It’s Just Forever
Indy Kidz
Teeth
Come a Little Closer
Rappel:
Shake Me Down
Sabertooth Tiger
Rédactrice: Aurélie Tournois // Photographe : ImmortalizR