On a aimé
- Le décor de conte inquiétant sur scène, avec un Loverman qui se balance, les yeux dans le vide, sur un cheval à bascule
- La présence incroyable de cet artiste multiforme et la communion qu'il a suscité de la part du public
- Ses textes habités et ses déambulations dans la fosse
- La première partie par Michelle, qui a tout simplement plié le game des premières parties.