Les meilleurs concerts de 2012
Après une année à l’agenda rempli de concerts, il est temps de faire le bilan. Les membres de la team Dancing Feet donnent leur top 3 des meilleurs concerts de 2012.
Le top 3 de Nina :
3) Brian Jonestown Massacre au Trianon (4 juillet): Pour l’énergie du public, poussif et sans compassion pour les pauvres barrières. Et pour le plafond certes résistant, qui finit par dégringoler sur le public, et pour le vigile à qui Anton Newcombe emprunta sa lampe pour explorer ce qui restait de celui-ci.
2) Bass Drum of Death à Rock en Seine (25 août): Pour les amateurs du rock crasseux et nerveux, présents malgré l’heure peu avancée de l’après midi. Pour les genoux des guitaristes: ça tourne, ca saute, ca se roule par terre. Pour le départ et donc dernier concert du batteur Colin, et surtout pour l’avis de John Barrett lui-même: » Tonite was the most fun fucking show I’ve ever played. Holy shit ».
1) The Jim Jones Revue à La Maroquinerie (28 novembre) : Pour le génial nouvel album « The Savage Heart », explosant de richesse en live. Pour le tour manager, allant et venant sans cesse pour dégager les plus courageux, et pour ceux, restés sur scène, tentant une petite danse sur scène. Pour ma tête et celles de quelques autres bien cabossée par la guitare du guitariste voulant s’approcher trop près du public.
Le top 3 d’Aurélie :
3) Band Of Horses au Trianon (5 novembre) : Pour les frissons ressentis en entendant Ben Bridwell chanter The Funeral, Is There A Ghost et No One’s Gonna Love You.
2) Awolnation à La Flèche d’Or (25 mai) : Pour cette immense découverte, alors que j’étais venue voir la pop colorée des Norvégiens de Team Me. Pour cette énergie de dingue déclenchée par le chanteur Aaron Bruno. Pour Sail en live, surtout.
1) Rich Aucoin au Nouveau Casino (17 juillet) : Pour l’état d’esprit du bonhomme, qui ne pense qu’à profiter de la vie et invite le public s’amuser dans la bonne humeur et sous les cotillons multicolores.
Le top 3 de Kirana:
3) Balthazar à la Cigale (27 novembre): Pour la performance habitée du chanteur, l’émotion du final et la ferveur du public.
2) Cheek Mountain Thief au Point éphémère (14 septembre): Pour le moment de poésie offert par la violoniste aux allures elfiques Lára Sóley Jóhannsdóttir en interprétant une chanson folklorique islandaise à la fin du concert.
1) Kakkmaddafakka au Point éphémère (26 avril): Pour leur énergie, leur bonne humeur, les chorégraphies de leurs choristes en shorts les Kakkmaddachoirs, le bassiste qui a cédé sa place à un spectateur sur Restless et leur disponibilité après le concert ! Trop cool !