Milky Chance // La Flèche d’Or // 2 juin 2014
Alors que leur single Down By The River cartonne et que le remix de Stolen Dance par Flic Flac est diffusé dans tous les clubs d’Europe, les deux compères de Milky Chance sont de passage à Paris.
Ce lundi soir, sur la scène de la Flèche d’Or, les Allemands les plus écoutés du moment se baladent du merch aux loges, flegmatiques. Au moment de monter sur scène, les premiers rangs, bien serrés, semblent crever d’impatience (et de chaud). Toujours aussi calmes, les musiciens commencent leur set avec l’excellent Stunner, enchaînent les titres de leur album Sadnecessary, glissant de temps à autres un nouveau morceau. Les géniaux Fairytale ou Flashed Junk Mind ravissent le public. L’harmonie créée par la voix suave aux accents reggae de Clemens Rehbein, combinée aux arrangements électroniques jouissifs de Philipp Dausch, sont un appel à la danse. Un tableau encore sublimé par l’arrivée de leur ami Antonio Greger, venu les rejoindre pour les accompagner à l’harmonica sur quelques morceaux. Entre deux titres, comme un rituel, Clemens malaxe frénétiquement sa masse de cheveux et renifle dans son micro avant de chuchoter un « sorry » dans un sourire. Le public est plutôt réactif ce soir, et dans la fosse, les fans chantent les paroles par cœur. Il faudra attendre la fin du set pour se trémousser sur les deux singles tant attendus.
Ce lundi soir, sur la scène de la Flèche d’Or, les Allemands les plus écoutés du moment se baladent du merch aux loges, flegmatiques. Au moment de monter sur scène, les premiers rangs, bien serrés, semblent crever d’impatience (et de chaud). Toujours aussi calmes, les musiciens commencent leur set avec l’excellent Stunner, enchaînent les titres de leur album Sadnecessary, glissant de temps à autres un nouveau morceau. Les géniaux Fairytale ou Flashed Junk Mind ravissent le public. L’harmonie créée par la voix suave aux accents reggae de Clemens Rehbein, combinée aux arrangements électroniques jouissifs de Philipp Dausch, sont un appel à la danse. Un tableau encore sublimé par l’arrivée de leur ami Antonio Greger, venu les rejoindre pour les accompagner à l’harmonica sur quelques morceaux. Entre deux titres, comme un rituel, Clemens malaxe frénétiquement sa masse de cheveux et renifle dans son micro avant de chuchoter un « sorry » dans un sourire. Le public est plutôt réactif ce soir, et dans la fosse, les fans chantent les paroles par cœur. Il faudra attendre la fin du set pour se trémousser sur les deux singles tant attendus.
Rédactrice : Aurélie Tournois // Photographe : Jacques de Rougé